ven 10 octobre 2025 | 20:30

Vendredi sur Mer

Grande salle
TARIFS hors frais de location
Prévente 24€ / 21€ Carte Rodia

Vendredi sur Mer

Elle ne les avait jamais réellement quittées. Vendredi sur Mer signe un retour aux sources, vers les paysages qui l’ont vue grandir. Une quête vers l’essentiel pour celle qui a passé son enfance entourée par les montagnes suisses, à développer ses sens artistiques. Charline (à la ville) se tourne rapidement vers le dessin, l’écriture et la photographie pour tuer l’ennui. C’est d’ailleurs dans ce dernier domaine qu’elle se professionnalise, et réalise une première exposition. Quand vient l’heure d’imaginer la bande-son qui pourrait accompagner ses clichés, elle se lance dans la création d’une chanson, aidé d’un ami producteur. Surprise : l’exercice lui plaît, Vendredi sur Mer est née. Personnage haut en couleurs, il permet à la jeune femme d’assumer ses envies de scène, ainsi qu’à dévoiler Premiers émois en 2019, un premier album au succès critique et commercial qui rappelle à quiconque l’écoute l’insouciance de ses années adolescentes grâce au chanté-parlé qui fait alors l’ADN de l’artiste.

Je suis incapable d’écrire sur ce que je n’ai pas vécu” se plaît-elle souvent à rappeler. Avec Métamorphose, son deuxième album paru en 2022, Vendredi sur Mer s’affirme, et part en quête d’une nouvelle identité sonore pour raconter la colère qui l’anime. Pour ce faire, elle s’aventure vers des rivages plus sombres, inspirée par des genres plus bruts, dont la techno. C’est là que s’opère l’une des rencontres les plus importantes de sa vie – celle avec Sam Tiba (ex membre du quatuor Club Cheval, il collabore régulièrement avec la scène rap francophone dont Zola, 13 Block ou Georgio), depuis devenu son producteur attitré, et l’un de ses meilleurs amis. Avec Métamorphose, Vendredi sur Mer marque un tournant dans son approche de la musique, s’autorise davantage à chanter et cultive son succès international. La tournée s’exporte, du Royaume-Uni au Pays-Bas en passant par le Mexique. “Je me suis rendue compte qu’à chaque voyage, ce qui me manquait, ce n’était pas ma maison à Paris. C’était là où j’avais grandi” sourit-elle.