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Acid Arab « ٣ » hâte de les revoir sur scène !

Avec son irré­sis­tible mélange de musique élec­tro­nique puis­sante et de sono­ri­tés arabes et moyen-orien­tales, le groupe pari­sien a enflam­mé les scènes et conquis les publics fran­çais et inter­na­tio­naux suite à la paru­tion de son pre­mier album Musique de France (2016). Dans son nou­vel opus Jdid (nou­veau, neuf en arabe), paru en octobre 2019, Acid Arab ampli­fie le dia­logue entre les rives Nord, Sud & Est de la Médi­ter­ra­née (la rive Nord s’é­ten­dant, dans le cas pré­sent, aux berges de la Tamise, de la Spree et de l’Hudson…).

Gui­do Minis­ky, Her­vé Car­val­ho, Pier­rot Casa­no­va, Nico­las Borne, et le cla­vié­riste algé­rien Ken­zi Bour­ras, avec leurs invi­tés triés sur le volet, font voya­ger leur voca­bu­laire dan­ce­floor entre sable et béton, des ware­houses ban­lieu­sardes aux sous-sols enfu­més d’O­ran ou Istan­bul, fai­sant rimer raï ori­gi­nel, dabke ira­ko-syrien ou chants du Sahel avec la rugo­si­té des machines.
« ٣ » sortie sur Crammed Discs|Shelter Studio

Joe Unknown encore des beaux cocos …

 

JOE UNKNOWN (punk, le Hip Hop, l’électro des années 2000 – UK)
On pourrait dire que sa musique est un condensé de The Streets / The Damned / Sleaford Mods / Slowthai.
Dans ses textes, il parle de l’Angleterre, du day to day de la culture British. I

Best of 2022

Bonne année 2023 a toutes et à tous !

Ci dessous un petit récap des disques qui on bien tourné dans ma tête cette  année 2022   :

 

The Black Angels « Wilderness of Mirrors »

Nnamdi « Please Have A Seat »

Flohio  » Out of Heart »

Gilla Band « Most Normal »

The Mauskovic Dance Band « Bukaroo Bank »

Automatic « Excess »

Guts « Estrellas »

Wu-Lu « LOGGERHEAD »

R.A.P. Ferreira « 5 to the Eye with Stars »

Beth Orton « Weather alive »

Weyes Blood « And In The Darkness, Hearts Aglow »

the Haunted Youth « Dawn Of The Freak »

Sault :  Today & Tomorrow mais aussi (Air ) + (Aiir) + ( Earth) + (Today & Tomorrow) + ( Untitled )  (God) + ( v-11 ) soit 7 albums tous sortis en 2022

Working Mens Club “ Fear Fear

Kendrick lamar « Mr. Morale & The Big Steppers »

Sampa the Great « Sampa The Great »

julie Odell « Autumn Eve »

Black Sea Dahu  » i am my mother  » et  « Orbit  »

King hanna « I’m Not Sorry, I Was Just Being Me »

Dead Letter  « heat  »

Special Interest  “Endure”

 Liraz  » Royaz « 

Talk Show  » touch the ground »

Just Mustard “ Heart Under

Little Sims « No Thank you »

The Lounge society  » Blood Money »

Mush « Down Tools »

Danger Mouse    « Cheat Codes »

Oda Ada  » Un Amor Debole  » Missing Love »

Dombrance « République electronique »

Warmdusher  “At The Hotspot « 

Bodega “ Broken Equipment

Artic Monkeys “Am”

 Th da freak “Coyote”

Fontana Rosa “Are You There ?

Blumi “there is no end in me.

Lomepal Mauvais Ordre

Plaid “Feorm Falorx

Qasi Qui « Downloading a New Operating System »

Nathan Roche “ A Break Away !

Life “North East Coastal Town »

the Dream Syndicate “ Where I’ll Stand »

Charlotte Adigery “ Topical Dancer »

 Bertrand Belin « Tambour Vision »

Perez “Sados”

  Lambchop « The Bible »

Kurt Vile « Watch My Moves »

Aldous Harding « Warm Chris »

Daniel Avery « Ultra Truth »

Peter Doherty & Frédéric Lo « The Fantasy Life of Poetry and Crime »

Muriel Grosman « Momentum »

Hermon Mehari  » Asmara »

KEG « Girders »

Gaye Su Akyol « Anadolu Ejderi »

 

 

 

 

 

 

 

 

pour fan de Decius (programmé au festival Détonation) SWORN VIRGINS

 

SWORN VIRGINS

« It starts with a chuckle…« 

Fin décembre, sorti de nulle part arrive un premier morceau The Male Man, annoncant un EP à venir fin février sur DEEWEE.

Aussi efficace que gluant, il inaugurait un EP produit par les frères Dewaele (2 Many Dj’s / Soulwax), que l’on pourra déjà considérer comme ce qui se fera de mieux en deux mille vingt deux (n’y allons pas par quatre chemins).

Quatre titres imparables, nous teleportant directement dans un club sale et bondé, les chaussures collant aux dalles du dancefloor, le taux d’humidité proche des 87%, et un line array relâchant des hectolitres de basses.
Et cette impression tenace d’entendre un Paranoïd London sous acides avec la voix d’un crooner façon Clams dans Warmduscher. Littéralement.

Oui, il était temps de réouvrir les salles, mais l’on ne pouvait pas imaginer meilleure B.O. pour accompagner ce retour.

Et de savoir qu’ils reviendront plus tard cette année avec un LP, je vous laisse imaginer deux mille vingt trois.

« ….and nothing ever gets finished without laughter.' »